Des peines de prisons ont été donné pour avoir osé caricaturer le roi du Maroc. Par contre quand il s’agit de caricaturer le prophète Mohamed que paix et bénédiction soient sur Lui, les artisans de la démocratie font du remue-ménage appelant à la liberté d’expression. L’exemple type même de la soumission de ces dirigeants arabe qui font tête basse quand un non-musulman caricature le prophète, mais sanctionne quand le souverain apostat est caricaturé.